d’Ossip Mandelstam.

Comment se réconcilier avec la poésie dans un univers qui se rétracte, où les mots autorisés sont ceux de la mise au pas ? Partir, prendre l’air en Arménie où l’on « respire à pleins poumons », aller « voir comment vit la mésange à Erevan ».

Véronique